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Red Muck - Jamp Pedal


Fuzz, Fuzz, Fuzz. D'abord un look. Faucille et marteau sur fond rouge, le décor est planté. On replonge en pleine décennie 70 avec tout le folklore afférant. Niveau réglages, on fait dans la simplicité, 3 boutons un level, un gain, un tone, basique. Disons le d'entrée c'est bien au niveau du gain que tout va se jouer, la tonalité si elle fonctionne plutôt bien pour travailler un son n'étant pas la finalité de cette pédale. On passe donc au chose sérieuse, on sort la stratocaster ( une reissue 62 japonaise des années 80), on branche dans hot rod et c'est parti.

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Ce qui frappe d'emblée, c'est la progressivité du gain. On commence avec un crunch très costaud et on se dirige tranquillement vers la fuzz qui fait vibrer les murs. Niveau riff on obtient ce que l'on était venu cherche, un son lourd, un peu crade, bavant à souhait qui permet de faire sonner une penta comme un orchestre. C'est diablement efficace, rien à rajouter. Plug and play.

En solo, finesse oblige, il faut se poser pour trouver les bons réglages, les bons équilibres, sauf à vouloir rester dans un registre volontairement gras. Essayé sur des doubles bobinages (un SG orville by gibson), le boitier rend également service, même si clairement il s'exprimer mieux sur une strat.

A la question, faut il l'utiliser seul, la coupler à un overdrive, c'est au gout de chacun, mais clairement, en plug and play elle se suffit largement à elle même.

Un boitier à faire tomber des murs qu'on vous disait.

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